DEATH MARK, un visual novel horrifique pour Halloween [Actus Jeux Vidéo]
Pour Halloween, l’éditeur Aksys Games apporte en Europe le visual novel horrifique Death Mark sur Playstation 4, PS Vita et Nintendo Switch. Êtes-vous prêts à frissonner ?
Si au lieu de regarder un film ou une série pour vous faire peur à Halloween, vous préférez vivre une expérience interactive angoissante alors l’éditeur Aksys Games pourrait bien faire votre bonheur. Spécialiste de la localisation de jeux japonais pour le marché occidental, l’éditeur exhume pour cette soirée d’horreur le Visual Novel Death Mark développé par le studio indépendant japonais Experience. Sorti au Japon depuis le mois de juin 2017, le jeu sera disponible le 31 octobre uniquement au format digital pour l’Europe sur Playstation 4, PS Vita et Nintendo Switch. Les américains auront eux la chance de pouvoir se procurer une édition physique standard ou une version collector comprenant en plus un artbook de 96 pages, le CD de la bande originale, un tatouage temporaire de la Marque le tout enfermé dans un sublime slipcase richement illustré pour la modique somme de 69$.
Dans Death Mark, le joueur incarne un personnage qui découvre qu’il a été marqué. Selon la rumeur qui circule dans la ville de Tokyo H, ceux qui portent cette marque semblable à une morsure de chien sont condamnés à mourir de manière totalement inexplicable. Devenu amnésique, le héros se retrouve devant une mystérieuse maison qui soi-disant protège ceux qui portent la marque. Alors que les portes s’ouvrent, le compte à rebours a déjà commencé.
Une fois dans la maison, le joueur devra se choisir un partenaire parmi d’autres personnes qui portent eux aussi la Marque. Équipé uniquement d’une lampe torche, il faudra surmonter votre peur du noir pour explorer les lieux à la recherche d’indices cachés tout en évitant d’attirer l’attentionde monstres réellement horribles. Lorsque vous n’aurez pas le choix, ces confrontations vous obligeront à faire des choix qui décideront de votre sort, une mauvaise décision et c’est la mort assurée.
